Identifiant EAD | COLLOT1_MISE_667_KO_22_I_78 |
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Titre propre de l'instrument de recherche | 667.KO.22.I - N°3 Cahier de notes faites en Angleterre par Camille Koechlin 1831, 1831 |
Editeur | Programme Colorants et textiles de 1850 à nos jours - Institut national d'histoire de l'art (Paris) |
Adresse de l'éditeur |
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Création | Ce fichier XML-EAD a été produit dans le cadre du programme de recherche 'Colorants et textiles de 1850 à nos jours' mené au sein de l'Institut national d'histoire de l'art (Paris) |
Langue de description | Français |
Règles de description | Ce fichier XML-EAD a été encodé conformément à la norme ISAD(G) |
Cote | 667.KO.22.I |
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Datation | 1831 |
Intitulé | N°3 Cahier de notes faites en Angleterre par Camille Koechlin 1831 |
Localisation physique | 68224, Haut-Rhin (68), Musée de l'impression sur étoffes : Bibliothèque - Mulhouse |
Importance matérielle | 180 pages |
Langue(s) | français |
Porte l’étiquette « collection Koechlin N° 10-8 » sur la première garde.
Ce cahier de note a été rédigé par Camille Koechlin (1811-1890) en 1831 et rassemble ses observations sur l'art de la teinture et de l'impression sur étoffes tel que pratiqué à Primrose en Angleterre. Une première partie donne des éléments de connaissance sur les façons de teindre en Angleterre, à Primrose en particulier. Camille Koechlin décrit l'atelier de bousage de Primrose puis les étapes importantes pour réaliser teintures et impressions ; il dénombre les cuves et le nombre d'artisans devant y travailler ; enfin des mots anglais du domaine de la teinture sont explicités. Dans une seconde partie, l'auteur décrit les principaux genres réalisés à Primrose.
Après avoir donné des éléments liés à l'organisation de l'atelier de teinture de Primrose, Camille Koechlin se concentre dans une seconde partie sur les recettes utilisées. Celles-ci ne sont pas complètes : les proportions manquent car l'auteur effectue un renvoi à des recettes numérotées et développées ailleurs. Il s'attarde ici plutôt sur les gestes techniques à accomplir, aux étapes à effectuer (colorant à ne pas intégrer sous une certaine forme, combien de bousage et quand les réaliser...), et ajoute des commentaires lorsque des modifications sont intervenues. Enfin des chapitres traitent d'un sujet sous tous ses aspects (les bleus fayencés ; les couleurs à la vapeur...) et les procédés sont très précisément décrits. Camille Koechlin cite aussi l'origine du sumac utilisé, qui provient de Malaga.
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