Identifiant EAD | COLLOT1_MISE_667_KO_12_V_117 |
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Titre propre de l'instrument de recherche | 667.KO.12.V - 1862 |
Editeur | Programme Colorants et textiles de 1850 à nos jours - Institut national d'histoire de l'art (Paris) |
Adresse de l'éditeur |
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Création | Ce fichier XML-EAD a été produit dans le cadre du programme de recherche 'Colorants et textiles de 1850 à nos jours' mené au sein de l'Institut national d'histoire de l'art (Paris) |
Langue de description | Français |
Règles de description | Ce fichier XML-EAD a été encodé conformément à la norme ISAD(G) |
Cote | 667.KO.12.V |
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Datation | 1862 |
Localisation physique | 68224, Haut-Rhin (68), Musée de l'impression sur étoffes : Bibliothèque - Mulhouse |
Description matérielle | Dimensions: 9 x 16 |
Langue(s) | français |
Porte collée sur la première garde l'étiquette "COLLECTION KOECHLIN N° 19.12".
Ce carnet est assez différent de l’ensemble des cahiers et carnets provenant des archives Koechlin, conservés au Musée de l’impression sur étoffes de Mulhouse. Il s’agit d’un carnet de voyage relié en cuir, non paginé, avec fermoir et étui latéral pour crayon. Daté de 1862 Camille Koechlin (1811-1890), chimiste et fils aîné de Daniel Koechlin dit Schouch, l’a utilisé pour prendre des notes au crayon. Comportant des noms et adresses d'exposants (les termes exposition et vitrines sont mentionnés dans le carnet), notamment originaires des régions mulhousienne et lyonnaise ainsi qu'anglais, et un brouillon de missive, il est probable que ce carnet ait été utilisé par Camille Koechlin lors d’un séjour à Londres, sans doute à l’occasion de l’Exposition universelle de 1862. La première page du carnet mentionne en effet la succession des autres expositions (Londres 1851 / Paris 1855 / New York 1853 / Paris 1867) ainsi que la mention "très belle exposition".
Constituant davantage un carnet de notes qu’un carnet de recettes, ce carnet de voyage de Camille Koechlin (1811-1890), chimiste teinturier, à Londres en 1862 comporte toutefois des croquis de machines à teindre. Le noir d'aniline est toutefois mentionné à plusieurs reprises, notamment pour les fonds. Camille Koechlin a aussi noté le prix demandé par Perkins pour un gallon d'aniline.
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