Identifiant EAD | COLLOT1_B_MNHN_MS_2005_14 |
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Titre propre de l'instrument de recherche | Ms. 2005 - Mémoire sur divers procédés appliqués à l’impression des tissus, par Ch. Broquette, manufacturier, chimiste, XIXe siècle |
Editeur | Programme Colorants et textiles de 1850 à nos jours - Institut national d'histoire de l'art (Paris) |
Adresse de l'éditeur |
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Création | Ce fichier XML-EAD a été produit dans le cadre du programme de recherche 'Colorants et textiles de 1850 à nos jours' mené au sein de l'Institut national d'histoire de l'art (Paris) |
Langue de description | Français |
Règles de description | Ce fichier XML-EAD a été encodé conformément à la norme ISAD(G) |
Cote | Ms. 2005 |
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Datation | XIXe siècle |
Intitulé | Mémoire sur divers procédés appliqués à l’impression des tissus, par Ch. Broquette, manufacturier, chimiste |
Localisation physique | 75056, Paris (75), Muséum national d'histoire naturelle - bibliothèque centrale - Paris |
Importance matérielle | 9 feuillets |
Langue(s) | français |
Communicable
https://bibliotheques.mnhn.fr/medias/medias.aspx?INSTANCE=EXPLOITATION#
Mémoire de Ch. Broquette sur ses expériences de teinture et notamment sur un procédé qui permettrait d'améliorer la qualité de tenue de l'orseille sur le coton, moins performant que sur la laine. Broquette s'appuie sur une idée d'Haussman "d'animaliser le coton" à l'aide d'une substance naturellement présente dans la laine, et la développe au cours d'essais. Ce texte est en partie destiné aux membres de l'Académie des sciences, dont Broquette demande qu'ils reconnaissent cette découverte comme la sienne. L'ouvrage ne contient toutefois aucun détail de fabrication, l'expérience proprement dite devant être faite devant les membres de l'Académie. Broquette a effectivement déposé six brevets de 1844 à 1850 concernant entre autres un mordant organique et des nouveaux modes d'impression sur étoffes .
Ce texte rédigé par Ch. Broquette traite de l'une de ses idées pour améliorer la qualité de tenue de l'orseille sur le coton. Il stipule que puisque la laine jouit d'une meilleure tenue, celle-ci doit contenir un mordant qui lui est particulier. Broquette entreprend donc de prouver qu'il serait profitable de fixer une matière animale sur le coton avant de le teindre. Plusieurs essais sont réalisés afin de trouver la meilleure substance (caséum) et celle qui s'intégrerait le mieux dans un mode de production industriel. Broquette met ensuite en avant les avantages de l'emploi de laque à l'état de précipité et non plus de dissolution pour appliquer l'orseille sur les tissus, mais ne donne pas d'information plus précise sur le procédé. Le manuscrit s'achève avec une sorte de chronologie de ses expériences, dont la plupart datent de 1844 à 1849.
archives privées
http://www.calames.abes.fr/pub/mnhn.aspx#details?id=PA2015052
aucun échantillon