| Identifiant EAD | COLLOT1_B_MNHN_MS_1126_19 |
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| Titre propre de l'instrument de recherche | Ms. 1126 - Description d’une espèce de chrysanthemum, très commun aux environs de Paris, propre à servir à la teinture et à l’occasion duquel naissent des réflexions pour la perfection de cet art, XVIIIe siècle |
| Editeur | Programme Colorants et textiles de 1850 à nos jours - Institut national d'histoire de l'art (Paris) |
| Adresse de l'éditeur |
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| Création | Ce fichier XML-EAD a été produit dans le cadre du programme de recherche 'Colorants et textiles de 1850 à nos jours' mené au sein de l'Institut national d'histoire de l'art (Paris) |
| Langue de description | Français |
| Règles de description | Ce fichier XML-EAD a été encodé conformément à la norme ISAD(G) |
| Cote | Ms. 1126 |
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| Datation | XVIIIe siècle |
| Intitulé | Description d’une espèce de chrysanthemum, très commun aux environs de Paris, propre à servir à la teinture et à l’occasion duquel naissent des réflexions pour la perfection de cet art |
| Localisation physique | 75056, Paris (75), Muséum national d'histoire naturelle - bibliothèque centrale - Paris |
| Importance matérielle | 3 et 4 feuillets |
| Langue(s) | français |
Communicable
https://bibliotheques.mnhn.fr/medias/medias.aspx?INSTANCE=EXPLOITATION#
Donation de Jussieu.
Manuscrit d'Antoine de Jussieu (1686-1758), botaniste et médecin, et concernant une chrysanthème, fleur très commune dans les environs de Paris. Cet essai est divisé en deux temps : une description physique de cette plante, aspect extérieur, intérieur, couleur, goût (6 pages ; partie portant en haut de la première la mention de l'auteur "n° 22") ; puis les expériences que lui ont inspirées cette plante (8 pages ; partie portant en haut de la première la mention de l'auteur "n° 22bis"). Au sein des papiers de Jussieu, il vient donc avant le texte concernantle pastel, également conservé à la bibliothèque centrale du Muséum national d'histoire naturelle (Ms. 1127). Jussieu développe également dans son texte les progrès encore possibles dans le domaine de la teinture grâce à ces plantes largement méprisées car jugées communes.
Après avoir donné une description de la chrysanthème et dressé le constat que les drogues venant de Chine ou de Louisiane ne sont pas meilleures que les autres, Antoine de Jussieu explique comment il a eu l'idée d'utiliser cette plante pour la teinture. L'auteur explicite ensuite quelles expériences ont été entreprises : décoctions avec plusieurs degrés de nuances et essais sur les étoffes. En fonction des mordants ou drogues utilisées, il décrit les résultats.
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